Les différentes formes
de réflexologie

Réflexologie plantaire

La plus ancienne des techniques pratiquées en Chine, en Égypte et en Inde. A l’aide de ses mains, le réflexologue stimule des zones réflexes situées sur l'ensemble du pied. Cette technique a une action drainante et vasculaire et elle procure également une profonde détente. Des pressions peuvent aussi être réalisées sur des points spécifiques allant jusqu'au genou. En Chine, l’idéogramme « pied » signifie littéralement « partie du corps qui sauvegarde la santé ».

Réflexologie auriculaire

Elle consiste à traiter un déséquilibre en stimulant des points précis du pavillon de l'oreille. En sollicitant les points réflexes très proches du cerveau, le message nerveux est envoyé et interprété rapidement. La technique de stimulations utilisée est sans effraction cutanée par palpation et avec des outils comme le stylet manuel et la pose de graines de vacaria.

Réflexologie palmaire

Apparentée à la réflexologie plantaire, elle a donc aussi une action calmante sur le système nerveux, musculaire et vertébral. Elle est particulièrement pratiquée chez les personnes âgées, les enfants, les personnes ayant un traumatisme aux membres inférieurs. Les zones réflexogènes se situent à la fois dans la paume, sur les doigts et sur le dessus des deux mains, des pressions pouvant aussi être réalisées jusqu'au coude sur des points spécifiques.

Réflexologie faciale

Elle tempère les douleurs et procure une libération émotionnelle. Elle est également appréciée pour son action immédiate sur la détente des muscles fasciaux. Cette technique est pratiquée en session de courte durée. La stimulation des points du visage, correspondant à un organe ou partie du corps, se fait grâce à des instruments conçus spécifiquement pour la faciale.

La réflexologie,
une pratique ancestrale

Elle stimule la capacité de tout être humain à l'auto-régulation du corps.​

Elle renait vers 1830 à nos jours suite à de nombreuses recherches en particulier le travail du Docteur William Fitzgerald (1872-1942), médecin américain, qui découvre la "thérapie de zones" en 1917.  Cette découverte majeure est basée sur la neurophysiologie. Il constate en effet qu’une pression locale sur un doigt ou un orteil a un effet antalgique à distance, sur une des 10 zones du corps, et que cela peut donc calmer la douleur ressentie dans la zone douloureuse. Dans les années 1930, c’est Madame Eunice Ingham (1889-1974), physiothérapeute américaine, qui fait connaître la réflexologie plantaire au grand public

Toutes ces avancées ont un point commun : celui de mettre en avant que la stimulation d’une partie du corps agit sur une partie éloignée. En France, c'est dans les années 1990 que les premiers réflexologues commencent à se former pour exercer (hormis professionnels de santé). Elle reste aujourd’hui une pratique de soin non conventionnel. En effet, il n’existe pas à ce jour de Diplôme d’Etat pour la profession de réflexologue. La reconnaissance officielle de cette activité par l’Etat existe uniquement à travers la qualité de réflexologue certifié au titre du Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP).

Entre temps à partir de 1951, le Docteur Paul Nogier (1908-1996), médecin lyonnais, développa la technique de réflexologie utilisant les oreilles. Ce dernier permit d’identifier la localisation de la plupart des points réflexes (certains étaient déjà connus) situés au niveau du pavillon de l’oreille. C’est ensuite notamment par le travail du Docteur Jean Bossy (1929-2009), médecin universitaire montpelliérains, que les principes de la réflexologie sont avancés et publiés en 1975 dans son livre “Bases neurobiologiques des réflexothérapies”.

Vous trouverez aujourd’hui deux courants principaux qui sont souvent mêlés l’un à l’autre : la réflexologie venant de la pratique traditionnelle chinoise utilisant les points des méridiens et celle issue d’Eunice Ingham utilisant essentiellement la cartographie des zones réflexes. L’enseignement certifié RNCP que j’ai reçu et qui me permet d’exercer l’activité de réflexologue, est issu de la pratique traditionnelle chinoise. Cette dernière est connue depuis 2 200 ans (période des royaumes combattants 475-221 avant J.-C.) notamment à travers l’écrit le plus ancien et le plus représentatif qui se nomme le Huangdi Nei Jing (classique de l’empereur jaune).


Les bienfaits de la réflexologie ...


La
réflexologie est une technique manuelle précise qui agit sur les grands systèmes du corps (nerveux, endocrinien, lymphatique…). Elle se pratique sur les zones les plus riches en récepteurs sensoriels : les pieds, les mains, les oreilles et le visage.

Chacune de ces zones reflète une carte miniature du corps humain, où chaque organe, glande ou fonction physiologique est représenté. Par des gestes spécifiques – pressions, rotations et lissages – la réflexologie stimule ces points dits "réflexes" pour rétablir l'équilibre naturel du corps. En favorisant un état profond de détente, la réflexologie aide le corps à retrouver sa capacité naturelle à s'autoréguler.

Maux de tête
Douleurs articulaires
Problèmes de règles
Altérations du sommeil et fatigue
Problèmes digestifs
Problèmes urinaires

Attention

La réflexologie ne peut se substituer en aucun cas à un suivi ou traitement médical, et ne permet en aucun cas d'établir un diagnostic ou de modifier une prescription médicale.

En revanche, elle peut apporter une aide complémentaire. 


Les contre-indications

Avant de réserver votre séance de réflexologie, merci de prendre quelques instants pour consulter la liste des contre-indications ci-dessous.
Certaines situations de santé nécessitent l’avis préalable de votre médecin traitant avant toute prise de rendez-vous.
Votre bien-être et votre sécurité sont ma priorité. N’hésitez pas à me contacter pour toute question ou précision.

Forte fièvre
Trois premiers mois de grossesse
Maladies dégénératives
Maladies chroniques non stabilisées
Désordres psychiques
Cas de phlébite et/ou de thrombose
Cancer en phase évolutive
Traumatisme récent d'un membre avec de fortes douleurs
Infections graves ou localisées (risque de propagation)
Ne pas s'être fait vacciner dans les 15 jours précédents